logo association Amali

Faire un Don
Agence Attijariwafabank CIL
007 780 0000489000304629 90

conseils schizophrenie

Conseils

Selon un article rédigé par le Dr. Irvin Epstein, Directeur de PRIME ( Prevention Trough Risk Identification Management and Education Clinic du Centre for Addiction and Mental Health de Toronto et publié dans Schizophrenia Digest , Volume 10, Issue 1, Winter 2003)

Risques associés à l’abus de substances chez les personnes souffrant de schizophrénie

  • Apparition plus précoce de la maladie.
  • Apparition de symptômes de dépression et d’anxiété.
  • Augmentation des risques de réapparition des symptômes.
  • Difficultés pour l’établissement du diagnostic et du plan de traitement.
  • Besoin de médications additionnelles.
  • Moins bonne efficacité des antipsychotiques.
  • Hospitalisations plus fréquentes et de plus longue durée.

Plus grand nombre de problèmes médicaux reliés à la comorbidité.

  • Risques accrus de violence et d’itinérance.

Augmentation du coût des soins de santé.

Bonnes idées

Choses à faire et à réaliser si un être cher atteint de schizophrénie fait un usage abusif de drogues et d’alcool :

  • Ne pas considérer la situation comme une disgrâce pour la famille. Le rétablissement d’une personne souffrant de dépendance aux substances est possible tout comme ça l’est dans le cas de n’importe quelle autre maladie.
  • Ne pas harceler, faire un sermon ou réprimander. Vous ne feriez alors qu’augmenter son besoin de mentir ou le forcer à faire des promesses qu’il ne pourra pas tenir.
  • Ne jamais faire du chantage affectif. Des phrases comme  » Si tu m’aimes…  » ne feront qu’augmenter son sentiment de culpabilité.
  • Être prudent dans vos promesses. Une promesse en l’air donnera à votre proche l’impression que vous ne pensez pas ce que vous dites.
  • Ne pas jeter ou cacher les drogues ou l’alcool. Cette façon de faire peut conduire votre proche au désespoir.
  • Ne pas se laisser convaincre de consommer de la drogue ou de l’alcool avec votre proche sous prétexte qu’ainsi, il en consommera moins. Ça ne marche habituellement pas.
  • Ne pas éprouver de jalousie si votre proche se tourne vers d’autres personnes pour obtenir de l’aide.
  • Ne pas s’attendre à une guérison immédiate. Il pourra y avoir des rechutes et des périodes de tension et de ressentiment.
  • Ne pas essayer de protéger votre proche de situations où il y aura usage ou consommation d’alcool – c’est l’un des plus sûrs moyens de provoquer une rechute. Il doit apprendre de lui-même à dire  » NON « .
association amali

Contactez-nous !

06 65 93 14 91

associamali@gmail.com

Casablanca, Maroc

8 + 7 =